Les gars, j'ai honnêtement dit que j'étais horrifié par cette information, surtout parce que j'adore la cuisine japonaise et chinoise, etc. Malheureusement, il est fort probable qu'il ne s'agisse pas d'une fausse nouvelle, mais d'une information réelle et importante. Allons-y ? Les sushis sont devenus un plat courant sur la table des Brésiliens de la classe moyenne. Cette spécialité japonaise est facilement trouvable dans les restaurants spécialisés, voire en livraison, via des applications de restauration.
Les Brésiliens n'ont pas l'habitude de faire beaucoup de recherches sur les bienfaits de la nourriture, et peu de gens savent que le poisson cru et insuffisamment cuit est un facteur de risque, car Anisakis simplex, un parasite très courant présent chez les poissons de mer peut provoquer une infection qui, dans des cas très extrêmes, peut entraîner la mort.
D'où vient cette recherche ?
Cette recherche n'est pas brésilienne, elle est donc plus crédible, n'est-ce pas ? Elle a été publiée dans le British Medical Journal, où une équipe de chercheurs a diagnostiqué l'infection chez un homme de 32 ans.
Selon le rapport, il a été hospitalisé pendant plus d'une semaine pour de fortes douleurs abdominales, des vomissements et de la fièvre. Une endoscopie a été réalisée et les médecins ont détecté la présence de larves du genre Anisakis dans son estomac. Pour traiter la maladie, il est nécessaire d'enlever le ver, par endoscopie ou par chirurgie.
Nous ne recommandons pas, et les chercheurs ne vous le recommandent pas, d'arrêter complètement de manger des sushis, mais soyez très prudent. Le gouvernement japonais, par exemple, encourage la conservation du poisson congelé à des températures inférieures à -20 °C pendant au moins une journée. De plus, l'institution recommande de chauffer le poisson pendant au moins une minute à des températures supérieures à 60 °C, afin d'éliminer les larves de parasites.
Vous avez aimé ? Partagez !